Bonjour à tous et toutes merci à Babelio et aux Editions Illador de m’avoir permis d’intégrer le groupe dédié à cette Masse Critique Littéraire. Voici le résultat de ma lecture et de mes recherches. Qui bien que vous permettrais une bonne compréhension de ces textes ne sont certainement pas complètes. Mais m’a permis à moi un très beau voyage littéraire.
Un homme qui manie le verbe avec aisance et plaisir.
Recueil de poèmes. Jean-Marie Guinebert, né durant l’été 1966 dans une petite ville de la Charente Française. Son enfance a été confiée aux livres et aux arbres. Il vit à Paris qu’il quitte régulièrement pour se rendre à Versailles où il y travaille. À La Rochelle où il a laissé flotter son adolescence. C’est en marchant dans les jardins parisiens qu’il cherche les rythmes de son écriture. Il y croise parfois son double, Ratapoil et bien d’autres encore.
On retrouve ici, un recueil d’une soixantaine de poèmes, répartis en 4 cahiers.
Ce sont dans l’ensemble des textes relativement courts et extrêmement travaillés par leur auteur.
Aides destinées aux lecteurs :
Dans les cahiers de Jean-Marie Guinebert. Ce poète très spécial va nous faire découvrir par son intermédiaire et avec un peu de recherche complexe que je vais me permettre de dévoiler ici pour la compréhension de ces textes aux moins férus d’histoire ! Et afin que tous puissent profiter pleinement de cet ouvrage avec une compréhension un peu plus complète, car d’entrée, en matière on pourrait être perdus !
Celui-ci commence par faire part et de partager ses connaissances et l’empreinte laissée sur lui. Qui lui inspirera ses créations et surtout ses poèmes.
Dès le début, il présente la statue de Ratapoil : sculpture d’Honoré Daumier représentant un soldat de Napoléon premier.
Vient ensuite la découverte de Romancero (probablement Romancero Gitano recueils de poèmes : petit chant, berceuse, poème parlé ou chanté en espagnol).
Ses années de début poétique sont présentées avec un riche vocabulaire.
Celui-ci cite Ophélie et d’après la description faite, je pense qu’il parle d’Ophélie qui est un personnage de fiction de la tragédie d’Hamlet, l’une des plus célèbres pièces de William Shakespeare. Ou au poème de Rimbaud.
Il nous renverra aussi apprendre à connaître José Rizal (Poète phillippins) les petites filles de Manille font sûrement références aux filles (prostituées) se promenant dans : Rizal Park qui est un parc situé au cœur de Manille, capitale des Philippines, à l’extrémité nord du boulevard Roxas, près du quartier d’Intramuros. Il donne sur la baie de Manille.
Vers la fin de ce cahier ,on voit son écriture se préciser.
Rencontre ici avec Emily Dickinson (poétesse 1830-1886). Après avoir étudié dans sa jeunesse, durant sept ans à l’académie d’Amherst, elle vit un moment au séminaire féminin du mont Holyoke avant de retourner dans la maison familiale à Amherst. Considérée comme une excentrique par le voisinage, on la connaît pour son penchant pour les vêtements blancs et pour sa répugnance à recevoir des visiteurs, voire plus tard à sortir de sa chambre. La plupart de ses amitiés seront donc entretenues par correspondance.
Il fait appel aussi à trois lutins tous trois extraordinaires.
1) Jean-Charles-Emmanuel Nodier (1780-1844) est un écrivain, romancier et académicien français. On lui attribue une grande importance dans la naissance du mouvement romantique.
2) Gérard Labrunie, dit Gérard de Nerval, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris, ville où il est mort le 26 janvier 1855.
3) Xavier Forneret, surnommé « l’Homme noir, blanc de visage », né à Beaune le 16 août 1809 et mort dans la même ville le 7 juillet 1884, est un écrivain, dramaturge et poète français.
Avec ses 3 lutins qui ont marqué ce troisième cahier, j’ai découvert des grands poètes très profonds, ma vie de lecteur de poésies a pris une tournure et un sens grâce à ce livre « La ruine le reste » que je ne suis pas prêt d’oublier.
Claudius Rutilius Namatianus est un poète et homme politique latin du début du V siècle, païen, auteur d’un poème narrant son retour de Rome vers la Gaule. Celui-ci écrira « De reditu suo » en l’année 417, 418 qui je crois à fortement touché l’auteur de ses cahiers. Et m’a touché par la même occasion.
Dans ce petit recueil : Il va nous faire découvrir un autre univers, un grand univers, le sien un univers livresque des plus passionnants. C’est donc pour moi un grand honneur d’avoir reçu celui-ci et d’avoir pu faire ce très beau voyage littéraire qui vu la masse n’est que le début d’un grand apprentissage. Merci à Babelio pour ce plaisir que fut le mien de publier ceci.
Je vous invite à vous rendre page 77 (j’adore)
Et page 33 c’est celui-ci que je partage avec vous.
Ode liquide.
Un lit d’herbes longues
Pour se coucher et dormir
Un lit d’herbes longues
Pour se coucher et mourir.
Ophélie belle Ophélie
Les herbes longues
Au lit de la rivière
Ont-elles bercé ton sommeil
Les herbes longues
Ont-elles apaisé tes paupières
À l’heure du long sommeil
Les chevelures du lit de la rivière
À moins qu’elles ne t’aient flagellée
De l’envie tardive de vivre
Pareille au fil de ton long remords
Très belle lecture que celle-ci, l’auteur nous renvoie vers un univers assez sombre, très intéressant, toutefois pour une bonne compréhension ! J’ai dû faire quelques recherches sur Google pour m’éclaircir sur certains points. C’est grâce à ceux-ci pourtant que la lecture prend tout son sens. Je remercie donc l’auteur pour le voyage poétique qu’il m’a encouragé à faire. Découvrant ou redécouvrant des poètes très intéressants qui enrichiront ma connaissance littéraire et poétique des années à venir. Pas toujours facile de comprendre ce récit, n’est pas à lire en quatrième vitesse ! Il faut s’informer, lire et relire ses écrits plusieurs fois pour s’imprégner des pensées de l’auteur, car ce n’est qu’à ce prix que l’on peut en décrypter le sens. L’idée de l’auteur ici est, je crois, de démocratiser la culture littéraire, et donc de la décloisonner en nous renvoyant vers des auteurs du passé. Citation de l’auteur « Je pense qu’on ne réussit jamais seul. » Cet écrit est donc plus clair pour moi, le chemin qu’il m’a inspiré et que j’ai suivi avec passion, et je crois son désir le plus profond de nous faire aller au plus profond de ses inspirations.
Lecture du dos du recueil :
Élégance
Après tout
Il s’agit de loger sa vie
Dans la délicatesse gracile de l’ombelle
La souplesse inquiète de l’herbe
À la merci du ruminant placide
Au regard doux absent
Déchirant comme l’amour
Confiant comme une enfance.
Ma note : 4/5
Pour quoi 4/5 ? Parce que cet auteur m’a fait voyager dans le passé et la vie d’autres poètes. Pour cela, il mériterait un 5/5. Toutefois, en étant objectif, je retire un point, car ce récit peut ne pas être compris par le grand public s’il n’y a pas de recherche en profondeur.
Lu et critiqué par Philippe Claude-François.
J’ai reçu ce recueil de BABELIO transmis par les Éditions Illador pour faire une « Mass-critique » J’en suis honoré.
Très belle lecture que celle-ci l’auteur nous renvoie vers un univers assez sombre, très intéressant, toutefois pour une bonne compréhension, j’ai dû faire quelques recherches sur Google pour m’éclaircir sur certains points. C’est grâce à ceux-ci pourtant que la lecture prend tout son sens. Je remercie donc l’auteur pour le voyage poétique qu’il m’a encouragé à faire. Découvrant ou redécouvrant des poètes très intéressants qui enrichiront ma connaissance littéraire et poétique des années à venir. Pas toujours facile de comprendre ce récit, n’est pas à lire en quatrième vitesse ! Il faut s’informer, lire et relire ses écrits plusieurs fois pour s’imprégner des pensées de l’auteur. L’idée ici est, je crois, de démocratiser la culture, et donc de la décloisonner. Citation de l’auteur « Je pense qu’on ne réussit jamais seul. » Cet écrit est donc plus clair pour moi.
Dans les cahiers de Jean-Marie Guinebert. Ce poète très spécial va nous faire découvrir par son intermédiaire et avec un peu de recherche complexe que je vais me permettre de dévoiler ici pour la compréhension de ces textes au moins férus d’histoire ! Et afin que tous puissent profiter pleinement de cet ouvrage avec une compréhension un peu plus complète, car d’entrée en matière, on pourrait être perdu !
Pourquoi j’ai aimé ? Parce que cet auteur m’a fait voyager dans le passé et la vie d’autres poètes. Je suis d’avis qu’il mériterait un 5/5. Toutefois, en étant objectif je retire un point, car ce récit peut ne pas être compris par le grand public, surtout, s’il n’y a pas de recherche en profondeur pour en améliorer la compréhension.
–> Lu et critiqué par Philippe C-F.
Non lu
Non lu
Merci à Babelio, aux Editions Illador, de m’avoir intégré au groupe dédié à cette Masse Critique Littéraire.
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